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7 janvier 2007 7 07 /01 /janvier /2007 14:30
SUPERBE HISTOIRE DE PROPHETES

déstiné aux enfants

HISTOIRE DE ADAM A TELECHARGER


HISTOIRE DE YOUSSOUF A TELECHARGER

(pour voir ces histoires , cliquer sur l'image, puis sur free en bas à droite du tableau et puis enfin taper les 3 lettres demandées et enfin cliquer sur download)

ECRIT PAR UNE SOEUR QUI SOUHAITE RESTER ANONYME

Qu'Allah la récompense pour ses efforts! amin


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26 décembre 2006 2 26 /12 /décembre /2006 18:37

Le Mérite des 10 (premiers) jours de Dhul-Hijja

(12ème mois du calendrier musulman, le mois du Pèlerinage)

 

 

Allah dit (traduction du sens des versets) : « Par l'Aube, et par les dix nuits. » [l’Aube, v. 1 et Ibn Kathîr - qu’Allah lui fasse miséricorde - a dit : « Cela fait référence aux 10 (premiers) jours de Dhul-Hijja.»

Allah a dit aussi : « … Et pour invoquer le nom d’Allah aux jours fixés… » [Le Pèlerinage, v. 28]. Ibn ‘Abbâs a dit à propos de l’explication de ce verset : « Ce sont les dix jours [de Dhul-Hijja]. »

Ibn ‘Abbâs a dit aussi : « Le Prophète - Paix et salut d’Allah sur lui - a dit : « Il n’y a pas d’œuvres meilleures que celles faites en ces 10 jours. » Les Compagnons dirent : « Même pas le Jihâd ? » Il dit : « Même pas le Jihâd, sauf un homme qui sortirait risquant sa vie et ses biens et qui ne reviendrait avec rien (càd. qu’il y perdrait sa vie et sa fortune). » Rapporté par Al-Bukhârî.


Ce qui est recommandé de faire pendant ces 10 jours

 

Il est recommandé de faire des efforts dans les actes d’adoration comme la prière, le rappel d’Allah, les contacts avec la famille, les aumônes, le fait de recommander le bien et d’interdire le mal, selon ses possibilités. Il existe des textes qui donnent des précisions sur des actes à faire en particulier :

1- Prononcer les formules de rappel : Dire « Allâhu Akbar » (Takbîr), « Lâ Ilâha Illallâh » (Tahlîl), « Al-Hamdu Lilâh » (Tahmîd), car selon le hadith d’Ibn ‘Umar - qu’Allah l’agrée- le Prophète a dit : « Il n’y a pas de jours plus importants auprès d’Allah - exalté soit-Il - et au cours desquels les oeuvres sont plus aimées de Lui, que durant ces 10 jours. Donc, dans cette période, répétez les formules « Allâhu Akbar », « Lâ Ilâha Illa'llâh », « Al-Hamdu Lilâh ». » Rapporté par At-Tabarânî dans Al-Mu’jam ul-Kabîr.

Et l’imam Al-Bukhârî - qu’Allah lui fasse miséricorde - a dit : « Ibn ‘Umar et Abû Hurayrah - qu’Allah les agrée - allaient au marché pendant les 10 jours et ils répétaient « Allâhu Akbar » et les gens répétaient après eux. » (Chacun pour soi, car il n’existe aucune preuve qui prouve qu’il faut dire cette formule en groupe, d’une seule voix).

Une formule acceptée est :
« Allâhu Akbar, Allâhu Akbar, Lâ Ilâha Illa'Llâh...

Allâhu Akbar, Allâhu Akbar, Wa Lilâhil-Hamd. »

Et Ibn ‘Umar répétait le Takbîr à Mina pendant ces 10 jours, après les prières, au moment de se coucher, dans sa tente, dans ses assemblées et lors de ses promenades. Il est recommandé de dire le Takbîr à haute voix, selon ce qu’ont fait ‘Umar, son fils et Abû Hurayrah.

2- Le jeûne : certaines femmes du Prophète - salut et prière d’Allah sur lui - rapportent : « Le Prophète - paix et salut d’Allah sur lui- jeûnait les 9 (premiers) jours de Dhul-Hijja, le jour d’Achoura, et trois jours par mois. » Rapporté par l’imam Ahmad, Abû Dâwûd et An-Nassâ’î.

3- Le jeûne du jour d’Arafat (9ème jour de Dhul-Hijja): le jeûne de ce jour est une Sunnah confirmée pour celui qui n’effectue pas le pèlerinage, selon le hadith du Prophète - Paix et salut d’Allah sur lui : « J’espère la récompense d’Allah que ce jeûne efface tes péchés de l’année écoulée et ceux de l’année à venir. » Rapporté par Muslim.

4- Le Hajj et la ‘Umrah : Abû Hurayrah rapporte du Prophète - Paix et salut d’Allah sur lui - qu’il a dit : « Accomplir la ‘Umrah efface les péchés entre cette ‘Umrah et la dernière, et un Hajj accepté (d’Allah) n’a d’autre récompense que le paradis. » Rapporté par Al-Bukhârî et Muslim.


Quelques règles se rapportant au sacrifice

 

C’est une Sunnah confirmé et il est détestable de la délaisser si l’on a les moyens de la faire, selon le hadith d’Anas - qu’Allah l’agrée - que le Prophète - Paix et salut d’Allah sur lui - a sacrifié deux béliers à cornes de couleur grisâtre ; il les égorgea lui-même en disant : « Bismillâh Wallâhu Akbar. »

Si une personne a l’intention de sacrifier et qu’il rentre dans les 10 premiers jours de Dhul-Hijja, elle ne doit pas se couper les cheveux, les ongles et la peau jusqu’à ce qu’elle sacrifie sa bête, car, selon Um Salama, le Prophète a dit : « Lorsque vous entrez dans les 10 jours (de Dhul-Hijja) et que l’un d’entre vous veut sacrifier une bête, qu’il s’abstienne de se couper les cheveux et les ongles. »


Que faut-il sacrifier ?

 

La bête à sacrifier doit être un chameau, une vache (ces deux-là sont à partager entre sept personnes), un mouton ou une chèvre (pour une seule personne) selon la parole d’Allah (traduction du sens des versets) : « Pour qu’ils rappellent le nom d’Allah sur ce qu’Il leur a octroyés des bêtes de troupeaux. » [Le Pèlerinage, v. 34]

La condition pour que la bête soit bonne à sacrifier est qu’elle soit exempte de défauts apparents, selon la parole du Prophète - Paix et salut d’Allah sur lui : « Quatre (défauts) font que le sacrifice n’est pas accepté : la bête borgne de manière apparente, la bête visiblement malade, la bête boiteuse de manière évidente et la bête maigre que l’on ne peut récupérer. » Rapporté par At-Tirmidhî.

Elle doit également avoir l’âge minimum obligatoire : cinq ans, pour le chameau ; deux ans, pour une vache ; un an pour une chèvre et six mois pour un mouton.


Le moment propice pour égorger la bête

 

Le moment propice débute après la prière de l’Aïd, selon le hadith du Prophète - Paix et salut d’Allah sur lui : « Celui qui égorge avant la prière a sacrifié pour lui-même, et celui qui égorge après la prière a parfait son sacrifice et a accompli la Sunnah des musulmans. » Rapporté par Al-Bukhârî et Muslim.

Il est autorisé d’égorger le jour de l’Aïd et les trois jours qui suivent selon le hadith du Prophète. 

Il est Sunnah pour qui sait égorger, d’égorger sa bête soi-même en disant : « Bismillah wallâhu Akbar, ô Seigneur, ceci est de la part d’untel » (et il se nomme lui-même ou la personne qui lui a recommandé d’offrir ce sacrifice) car le Prophète - Paix et salut d’Allah sur lui - a égorgé un bélier en disant : « Bismillah wallâhu Akbar, ô Seigneur, ceci est de ma part et de la part de tous ceux de ma communauté qui n’ont pas sacrifié. » Rapporté par Abû Dâwûd et At-Tirmidhî.

Il est recommandé à celui qui ne sait pas sacrifier de tout de même assister.


La répartition (de la viande) du sacrifice

 

Il est Sunnah pour la personne qui sacrifie de manger une partie de la viande de la bête sacrifiée (et la première chose dont le Prophète mangeait le jour de l’Aïd était le foie du mouton), d’en distribuer aux proches de la famille et aux voisins, et d’en faire aumône d’une partie aux pauvres.

Allah dit (traduction du sens des versets) : « Mangez-en et donnez-en à manger aux misérables, les pauvres... » [Le Pèlerinage, v. 28]

Certains Pieux Prédécesseurs (Salaf) aimaient à partager la viande en trois : un tiers pour eux-mêmes, un tiers en cadeau et un tiers en aumône pour les pauvres. Et on ne donne pas au boucher de cette viande comme salaire pour son travail.

 


 

 

Important !

Le jour d’Arafat aura lieu le vendredi 29 décembre 2006, et par conséquent, le jour de l’Aïd sera le samedi 30 décembre 2006.

 

 

Distribuez cette article autour de vous car Allah dit : « Entraidez-vous au bon comportement et à la piété, et ne vous entraidez pas au péché et à l’inimité. » … Le Prophète Muhammad (Prière et salut sur lui) a dit : « Celui qui montre le chemin vers une bonne action, a la même récompense que celui qui la fait. » (Muslim, 4876).

Yaqub Abou Younes (éditions anas)

 

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9 décembre 2006 6 09 /12 /décembre /2006 11:30
REPONDRE AU TELEPHONE

SHEIKH AL-ALBANI


Question n°201: Lorsque un homme téléphone, il arrive qu'une femme réponde, il demande alors si son frère, son mari ou aute est présent; y a-t-il un mal en cela?

Réponse:Dés lors que la discussion est inévitable, il est d'autant plus inévitable de saluer. En régle générale, l'homme ne parle pas avec une femme, pour fermer la porte au prétexte, mais s'il ne craint à ce niveau aucun méfait, il n'y a aucun mal en cela.De même, si la femme téléphone à l'une de ses soeurs  ou une amie et qu'un homme répond, elle demande, par nécéssité, cette soeur ou cette amie. Si elle doit forcémént parler avec un homme, qu'elle commence par le saluer car dans certains hadiths authentiques, il est cité que le prophète (aleihi salat wa salam) dit:
"Celui qui entame la discussion avec vous avant le salut, ne lui répondez point"(rapporté par Ibn al-Sunni)

Tiré du livre Receuil de fatawas concernant les femmes
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26 novembre 2006 7 26 /11 /novembre /2006 15:09
LA GESTION DU TEMPS
-Une rentrée réussie



LES COUCHES LAVABLES

-les sites
-coudre ses couches
-les avantages
-vos témoignages




LE PORTAGE
-les bienfaits
-comment porter son enfant
-acheter une écharpe
-vos témoignages

L'ALLAITEMENT
-le miracle de l'allaitement
-comment allaiter
-les bobos de l'allaitement
-idées fausses sur l'allaitement

PARENTS
-droits des parents
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25 novembre 2006 6 25 /11 /novembre /2006 15:50
Les droits des parents


Shaykh Muhammad ibn Salih Al-Uthaymin


Les parents sont ceux qui sont liés à vous par le sang et des liens proches; comme le frère, l'oncle, la tante, ou leurs enfants. Quiconque a un lien de relation avec vous a certains droits sur vous, en fonction de leur rapprochement par rapport à vous. A ce propos, Allah - le Très Haut -  dit : 

"Et donne au proche parent son droit." [Sourate Al-Isra ' 17:26] 

 

Allah - le très Haut- dit aussi:

"Adorez Allah et ne Lui donnez aucun associé. Agissez avec bonté envers père et mère." [Sourate Nisa 4:36]

Donc il est obligatoire pour tous de traiter leurs parents de la meilleure façon possible et de les soutenir conformément à leurs besoins et leur donner ce qu’ils recherchent d'aide et d'appui. Et c'est ce qui est réclamé par la Shari'a (la loi Islamique prescrite), le ' aql (la raison) et la fitrah (la nature saine).


Et il y a beaucoup de preuves textuelles encourageants silatur-rahim (préserver les liens de parenté); comme ce qu'Abou Hurayra radiyallahu ' anhu rapporte du prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam), qui a dit :


"Certes, Allah a créé la création, avant qu'il ait fini, le Rahm : (l'utérus/liens de parenté) s’est levé et a dit : Est-ce le lieu de celui qui cherche refuge auprès de Toi contre ceux qui sont sévère et rompent leur liens avec moi. Ainsi Allah dit : Oui, En effet cela te plairait-il que je maintienne des liens avec ceux qui maintiennent des liens avec toi et que je rompe des liens avec ceux qui rompent les liens avec toi ? Ainsi le Rahm : dit : ‘Oui, en effet ' Ainsi Allah dit : Alors ceci est pour toi. Alors le messager d'Allah (sallallahu ' alayhi wa sallam) a dit :" récitez si vous souhaitez :

"Si vous vous détournez, ne risquez-vous pas de semer la corruption sur la terre et de rompre vos liens de parenté ? Ce sont ceux-là qu’Allah a maudits, a rendus sourds et a rendu leurs yeux aveugles." [Sourate Muhammad 47:22-23] [2]


Le Prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam) a aussi dit :

 

"Qui croit en Allah et le Jour Dernier, qu’il maintienne les liens de parenté." [3] 

 

Malheureusement, beaucoup de personnes n'accomplissent pas ce haqq (droit) et transgressent les limites concernant cela. Certains d'entre eux ne cherchent pas à maintenir des liens avec leurs parents ou leur montrer de la bonté; ni par la richesse, ni par le bon comportement, ni par l'octroi de cadeaux occasionnels et présents, ni en les aidant lorsqu’ils en ont besoin.


En effet, beaucoup de jours ou de mois peuvent passer sans même les voir ou leur rendre visite. Et parfois, plutôt que de chercher à maintenir les liens de parenté, certaines personnes cherchent même à durcir ces liens, en cherchant à nuire à leurs parents - par des mots, ou des actions, ou les deux. De tels gens maintiennent seulement des liens avec ceux qui ne sont pas proches, et rompent leurs liens avec leurs parents!


Certaines personnes maintiennent seulement des liens avec ceux qui maintiennent des liens avec eux, mais se coupent de ceux qui se coupent d'eux. Donc tels gens ne sont pas vraiment des waasilun (ceux qui maintiennent les liens de parenté), mais plutôt ils sont ceux qui se basent sur le donnant - donnant. Donc ils maintiendront seulement des liens avec ceux qui maintiennent des liens avec eux – qu’ils soient des parents, ou d'autres qu'eux. Cependant, le vrai waasil (celui qui maintient les liens de parenté) est celui qui maintient les liens de parenté pour Allah – que ses parents maintiennent des liens avec lui ou non. ' Abdullah Ibn ' Amr (radiyalahu ' anhu) rapporte que le prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam) a dit :


"Le waaasil (celui qui maintient les liens de parenté) n'est pas celui qui le fait simplement par réciprocité. Plutôt le waasil est celui qui, même quand les parents se coupent de lui, maintient toujours des liens avec eux." Un homme  demanda : ô messager d'Allah, j'ai des parents avec qui je maintiens les liens de parenté, mais ils se coupent de moi. Je les traite avec bonté, ils me traitent de mauvaise manière. Et je m'abstiens et je patiente avec eux, et ils se comportent grossièrement et par ignorance envers moi. Le Prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam) a dit :

 

"Si la situation est telle que tu le dis, alors c’est comme si tu remplissais leurs bouches avec du sable. Et Allah continuera à te faciliter et à te soutenir tant que tu continueras à faire ce que tu fais." [4]


S'il n'y avait aucune autre récompense pour le maintient des liens de parenté, sauf qu'Allah maintient des liens avec le waasil dans ce monde et dans l’autre, qu'Il étend Sa pitié par cela, rend les affaires plus faciles par cela et enlève la détresse et les ennuis par cela, ce serait plus que suffisant. Cependant, avec ceci, silatur-Rahim ( maintient des liens de parenté) rapproche la famille et les parents, si bien que l'amour et la compassion se développe et ils s’aident l’un l’autre, dans les temps de bien-être et de privation, et d'autres joies et plaisirs - comme il est éprouvé et bien connu. Et quand les liens de parenté ne sont pas maintenus, alors chaque bénéfice mentionné ci-dessus se changent en leurs opposés et un grand mal arrive à la société.

 

Notes de bas de page

 

1.      De Huqouq Da'at Ilayhal-Fitrah wa Qarrathash-Shari'ah (pg.11-13) de Shaykh Muhammad Ibn Saalih Al-'Uthaymin.

2.      Rapporté par Al-Bukhari (no 5987) et Muslim (no 3456)

3.      Rapporté par Al-Bukhari (no 6138), d'Abou Hurayrah (radiyallahu ' anhum)

4. Rapporté par Al-Bukhari (no 5991)


Article tiré du site troid.org

 

Source : Al-istiqamah

 

Traduit en français par les salafis de l’Est

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25 novembre 2006 6 25 /11 /novembre /2006 15:42

Question 9 : 

1) Comment réalise-t-on le  festin d’un mariage (Walima) ?
 
2) La consommation du mariage doit-elle se faire avant ou après
 
avoir donné le festin ?

Cheikh Rabi' ibn Hadi al Madkhali (Qu'Allah le préserve), Octobre2000, Joumada ath-thani 1421h


Réponse 9 :


 1) Le but de la Walima, c’est la manifestation du mariage, c’est de déclarer que cet homme musulman s’est marié avec cette fille musulmane. Ceci est un acte légiféré. Quant à la définition de la Walima, le Prophète (qu’Allah prie sur lui et le salue) a dit :

 « Donne un festin, ne serait-ce qu’un mouton ».

Le musulman doit donner un festin en fonction de ses moyens:

                                                         

- Le mardi 7 novembre 2006, par Ibn Abdel-Hâdî

BismiLLehi ar-Rahmâni ar-Rahîm

Celui qui observe la situation de la femme musulmane telle qu’elle est exposée dans les enseignements de l’Islâm [Ta’lîm al-Islâm], en déduira une chose énorme quant au fait que l’Islâm préserve la femme des griffes de l’immoralité [Radhîla] et la libère du marais de la perversion [Fassâd]. En effet, sous la protection de l’Islâm, elle mène une vie de pureté, de chasteté, de protection, de pudeur, d’invulnérabilité, de noblesse, grâce à une éducation élevée, une moralité remarquable, et une grande pudeur, loin des railleries des loups et des pervers [Foussâq]. Celui qui réfléchit sur la situation de la femme de l’époque antéislamique [Djâhiliyyah], et l’évolution organisée par l’apparition de l’Islâm, ne peut être que frappé par cette réalité [Haqîqah].

[…]

Certes, « la femme [d’avant l’Islâm] s’achetait et se vendait comme les bestiaux [Bahîma] et les provisions [Matâ’] ; elle était contrainte au mariage et à la prostitution ; on héritait d’elle mais elle n’héritait pas ; elle était dirigée et elle ne dirigeait pas. La plupart de ceux qui la détenaient lui interdisaient de disposer de ses biens sans la permission de l’homme dont elle dépendait. Le mari avait le droit de disposer de sa richesse sans son accord. Dans certains pays, les gens avaient divergé sur le fait de savoir si [la femme] était un être humain ayant une âme et un esprit perpétuel [Roûh Khâlidat] comme l’homme ou non ? Si elle devait apprendre la religion, si ses actes d’adoration pouvaient être acceptés ? Pouvait-elle aller ou non au Paradis ou dans l’au-delà ? Une assemblée tenue à Rome décida que la femme était un animal [Hayawân] impur n’ayant ni esprit et ni éternité ; mais qu’elle devait pratiquer les actes d’adoration [‘Ibâdat] et travailler, museler sa bouche comme on le fait avec le chameau [Ba’îr] et le chien mordant [Kalb al-‘Ouqoûr] pour l’empêcher de rire et de parler, parce qu’elle est l’instrument du diable [Chaytân]. La plupart des législations permettaient au père de vendre sa fille. Certains Arabes considéraient que le père avait le droit de tuer sa fille, pire que cela, ils voyaient qu’il avait également le droit de l’ensevelir vivante. Parmi eux, il y en avait qui considéraient qu’il n’y avait pas lieu d’appliquer la loi du talion à l’endroit de l’homme qui tuait une femme, ni de prix de sang à verser. » [1] Et d’autres choses que celles-là pourraient être citées comme injustice et persécution que la femme pouvait subir et endurer. De nos jours encore, la femme – vivant en dehors de l’ombre [protectrice] de l’islâm – souffre toujours d’une servitude barbare, à tel point que certaines femmes non musulmanes en viennent à vouloir bénéficier du même traitement que la femme musulmane.

Voici ce que disait la célèbre journaliste Maxe Atrode [2] :

« Il vaut mieux que nos filles travaillent dans les maisons comme domestiques plutôt qu’à l’usine où il n’est pas rare d’attraper la tuberculose qui emporte la beauté de sa vie à jamais. Si seulement nos pays pouvaient être comme les pays musulmans ! Y règnent la pudeur, la chasteté et la pureté ; la domestique et l’esclave jouissent d’une vie confortable et sont traitées comme les enfants de la maison, il n’y a pas d’attentat à la pudeur. Certes, c’est un déshonneur pour l’Angleterre de faire de nos filles des modèles de perversion à cause de la généralisation de la mixité. Pourquoi ne cherchons-nous pas à faire travailler les jeunes filles dans un cadre conforme à leur nature, en les maintenant à la maison et en laissant le travail des hommes aux hommes afin de sauver leur honneur ? »

La journaliste Lady Cook écrit dans la gazette « Alico » [3] :

« La mixité est désirée par les hommes, c’est ce qui fait que la femme aspire à ce qui est contraire à sa nature. Et plus la mixité est répandue, plus il y a d’enfants adultérins. C’est une énorme épreuve pour la femme : en effet, l’homme qu’elle a aimé la laisse s’enliser seule dans la misère et la souffrance et goûter à l’animosité de l’humiliation, du déshonneur et de l’oppression, plus encore, la mort. Elle s’enfonce dans la misère, car la grossesse, avec ses multiples désagréments et malaises, diminue ses forces à la recherche de ses subsistances, et cela dans la souffrance, car elle est dans l’épreuve et ne sait plus que faire de sa propre personne. Elle connaît l’humiliation et le déshonneur : quel déshonneur peut-il y avoir au-delà de cela - Quant à la mort, dans de nombreux cas, ces femmes ont recours au suicide ou par d’autres choses que cela.

De toutes ces choses, l’homme n’en souffre pas. Bien au-delà de tous cela, c’est la femme qui est tenue pour responsable et c’est elle qui en subit les effets, alors que les causes de la mixité proviennent des hommes. N’est-il pas temps que nous cherchions à décharger – pour ne pas dire éradiquer – ces malheurs qui déshonorent la civilisation occidentale ? N’est-il pas temps que nous prenions des mesures pour empêcher la mort de milliers et de milliers d’enfants qui n’ont pas de péché, bien au contraire, les péchés procèdent de l’homme qui séduit la femme sensible par nature, et lui fait croire toutes sortes de choses avant de l’abandonner au dur châtiment dès qu’il arrive à ses fins… »

C’est ainsi que la femme subit une succession de formes de souffrance, de dommages et d’oppressions, et endure une souffrance énorme, elle qui ne souhaite qu’une chose, être libérée de tout cela pour mener une vie normale et harmonieuse, conforme à sa nature, sa constitution physique et ce à quoi elle est disposée. L’Islâm reste l’unique sauveur de la femme, qui lui assure la gloire, la sérénité et la quiétude. [4]

Notes

[1] Citer par Muhammad Rachîd Ridhâ dans « Houqoûq an-Nissâ fîl-Islâm » p.6

[2] Citer par Muhammad Rachîd Ridhâ dans « Houqoûq an-Nissâ fîl-Islâm » p.76

[3] Citer par Muhammad Rachîd Ridhâ dans « Houqoûq an-Nissâ fîl-Islâm » p.77-78

[4] Kitâb « al-Djâmi’ li-Bouhouth war-Rassâ-îl » du SHeikh ‘Abder-Râzq Ibn ‘Abdel-Mouhsin al-Badr, p.537-540

Tiré du site manhajulhaqq

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17 novembre 2006 5 17 /11 /novembre /2006 14:37

Le Hijab de la jeune fille non pubère

 Le Comité Permanent pour les recherche islamiques et les Fataawas

Question: Quelle est la règle en ce qui  concerne les jeunes filles qui n'ont pas atteint l'âge de puberté? Est-il permis pour elles de sortir sans se couvrir ? Est-ce qu'elles peuvent prier sans se couvrir la tête?

Réponse: Leurs gardiens se doivent de les amener à leur inculquer les hauts enseignements de l'Islam. Ils devraient leur dire de ne pas sortir à moins que leur corps soit couvert. Tout ceci afin d'éviter toute tentation et afin qu'elles s'habituent aux manières vertueuses .Comme cela, elles ne seront jamais une source de propagation du mal. Elles doivent prier la tête couverte. Si elles prient sans se couvrir la tête, leurs prières sont valables car le Prophète

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